To sieste or not to sieste ?

Cette phrase, je l’ai piquée à une artiste belge que j’aime d’amour : Véronique Gallo (si vous ne la connaissez pas, foncez voir ses vidéos, c’est à hurler de rire !). Elle est issue de l’un de ses sketchs dans lequel elle parle des siestes de sa fille de 3 ans… autant vous dire que ça me parle particulièrement, cette histoire ! Du coup, j’avais envie de faire le bilan sur ce moment quotidien un peu magique 🙂

Faut pas se mentir, une des choses que l’on espère le plus ardemment quand on devient parent, c’est que nos enfants dorment.

Longtemps, profondément et souvent (si c’est pas trop demander).

En la matière, je dois avouer qu’on a eu plutôt de la chance avec les Girls. La Prem’s a fait ses nuits vers 3 mois, la Deuz à 1 mois. Le rythme des siestes s’est progressivement installé chez l’une et chez l’autre : 3 siestes par jour jusqu’à 1 an +/-, puis 2 par jour jusqu’à 16-17 mois et enfin 1 par jour, après le repas de midi.

S’il y a eu des ratés de temps en temps (merci les dents, les otites, les angoisses…), les siestes ont été et sont toujours un moment sacré chez nous.

Un moment suspendu pour nous, un moment nécessaire pour elles.

La Prem’s est une éternelle siesteuse… Elle a longtemps été sur un minimum de 3h de sieste par jour ! Elle ne la fait plus à l’école depuis la 2e maternelle (ou moyenne section en France), mais elle ne rechigne pas à la faire à la maison, que ce soit le mercredi après-midi ou le week-end.

Elle a plus de 5 ans aujourd’hui et on essaie qu’elle ait une sieste au moins une fois par semaine, car elle en a besoin. Durant les dernières vacances de Noël, elle a fait la sieste tous les jours, en plus des grasses matinées. Alors évidemment, je ne compte pas le nombre de fois que j’ai entendu la réflexion « Quoi ? elle a 5 ans et tu la mets encore à la sieste ? »… Bah oui. Il est où, le problème, à partir du moment où je sais, en tant que maman, qu’elle en a besoin ? Dormir, c’est aussi nécessaire pour bien grandir. Et surtout pour profiter à fond des moments avec une grande fille reposée et donc bien plus réceptive 🙂

La Deuz, à presque 3 ans, a grand besoin de sa sieste quotidienne. S’il est difficile de savoir si elle s’endort vraiment à la sieste de l’école (et combien de temps), elle ne rate quasi aucune sieste en-dehors, que ce soit le mercredi après-midi, le week-end ou les vacances. Si on a prévu une sortie, on s’organise pour rentrer au moment de la sieste, même si elle est décalée. Si on est à l’extérieur, on embarque son lit parapluie ou on s’arrange pour qu’elle puisse dormir dans un lit mis à disposition. Car la Deuz sans sieste est – comment dire – un tantinet « difficile » (comme tout enfant fatigué, en somme !).

Par contre, par principe et contrairement à sa grande sœur, elle râle toujours avant de monter à la sieste… Ce qui me laisse à penser qu’elle ne la fera pas aussi longtemps que sa grande sœur. Mais je peux me tromper !

Bref, la sieste est un moment tellement ancré et indispensable dans notre quotidien que j’ai peur de sa fin, je l’avoue…

Car oui, quand les filles sont à la sieste… j’y suis aussi, dès que je peux 🙂
Et en cadeau, la vidéo « sieste » de Véronique Gallo ci-dessous :

 

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2 réflexions sur “To sieste or not to sieste ?

  1. Aaah la chance : Ici, c’est plutôt non siesteur de frère en soeur… Nous avons lâcher les siestes avant 4 ans pour les 2 tant les couchers devenaient épiques… La petite section de maternelle, avec les siestes imposées, a été un calvaire pour nos soirées !
    Alors, finalement, nous l’avons vu venir avec soulagement cet arrêt. Mais quand j’en ressens le besoin, on continue un temps calme chacun dans sa chambre. Cela fonctionne bien !

    Bises
    Virginie

    Aimé par 1 personne

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